Constipation & ménopause : des astuces pour un transit fluide

octobre 1, 2025

L’essentiel à retenir : Une femme sur cinq souffre de constipation liée aux hormones (œstrogène et progestérone) de la ménopause. Un ralentissement intestinal qui épuise et fragilise le bien-être. Pourtant, alimentation riche en fibres, hydratation et activité douce suffisent souvent à rééquilibrer le transit. Comprendre ce lien hormonal est la clé d’un soulagement durable.

La constipation menopause vous semble-t-elle une épreuve quotidienne, entre ventre ballonné, selles dures et transit au ralenti ? Sachez que vous n’êtes pas seule : près d’une femme sur cinq traverse ce même inconfort digestif, lié à la chute des œstrogènes et de la progestérone. Leur baisse ralentit les contractions intestinales et assèche les selles, tandis que le cortisol lié au stress aggrave le phénomène. Découvrez dans cet article pourquoi votre transit ralentit, comment les déséquilibres hormonaux perturbent votre système digestif, et surtout, quels gestes simples – eau citronnée au réveil, marche quotidienne, massage abdominal – peuvent relancer votre transit pour retrouver un confort perdu.

Ménopause et constipation : on vous dit tout pour en finir avec ce tabou

Le ventre ballonné, le transit au ralenti, cette sensation d’inconfort persistant… Ce scénario vous dit quelque chose depuis que la ménopause s’est installée ? Vous n’êtes pas seule. Près d’une femme sur cinq en France vit ce même quotidien, souvent en silence. La constipation liée à la ménopause n’est pas un caprice du corps : c’est un symptôme physique bien réel, directement influencé par les chamboulements hormonaux.

Les fluctuations des œstrogènes et de la progestérone, ces hormones clés, ralentissent les contractions intestinales et assèchent les selles. Résultat : des selles plus dures, moins fréquentes, et des efforts d’évacuation épuisants. Sans compter l’impact du stress, amplifié par la baisse d’œstrogène, qui perturbe encore davantage votre système digestif. Pourtant, ce cercle vicieux n’est pas une fatalité.

En explorant les liens entre constipation et ménopause, ce guide vous offre des pistes concrètes pour agir. Parce que chaque femme mérite de traverser cette étape sans subir en silence.

Pourquoi la ménopause rime-t-elle souvent avec constipation ?

À la ménopause, la constipation devient un « invité indésirable » pour une femme sur cinq. Si vous vous sentez concernée, sachez que ce n’est pas un hasard : derrière cette sensation de ventre lourd ou ces selles dures, ce sont vos hormones qui tirent les ficelles. Comprendre le mécanisme, c’est déjà poser un pied sur le chemin des solutions.

Le rôle clé des fluctuations hormonales

La progestérone, cette hormone qui favorise la détente musculaire, voit ses niveaux chuter. Résultat : les contractions intestinales (le péristaltisme) ralentissent. Imaginez un intestin qui « paresse », laissant les selles sécher en chemin, comme une rivière au débit trop lent. Moins de progestérone, c’est donc plus de stagnation et de constipation.

oestrogène gamma gt constipation

En parallèle, la baisse d’œstrogènes aggrave le phénomène. Moins d’œstrogènes signifie plus de cortisol, l’hormone du stress. Or, ce « stress interne » perturbe la production d’acides digestifs, rendant la digestion plus laborieuse. Le duo œstrogènes-cortisol transforme le transit en parcours du combattant.

Quand le stress et le périnée s’en mêlent

Le stress lié à la ménopause n’arrange rien. Une étude souligne que le cortisol en surrégulation ralentit encore plus le transit, créant un cercle vicieux : plus de stress, plus de constipation, et vice-versa. Sans compter les spasmes et ballonnements qui s’invitent, comme expliqué ici.

Autre coupable sous-estimée : le périnée qui perd de sa tonicité. Moins de muscles pour expulser les selles, c’est un peu comme un moteur qui patine. Cette double action – intestin paresseux + périnée fatigué – explique pourquoi la constipation s’installe souvent durablement à la ménopause.

N’oublions pas que ce ralentissement digestif peut aussi provoquer d’autres désagréments : ballonnements, douleurs abdominales ou alternance constipation-diarrhée. Les œstrogènes influencent même la composition de notre microbiote intestinal : leur diminution favorise l’installation de bactéries pro-inflammatoires au détriment de celles qui produisent des acides gras bénéfiques. Tout un équilibre à réinventer !

Reconnaître les signes : plus qu’un simple transit au ralenti

Les symptômes qui ne trompent pas

On parle de constipation quand les selles deviennent rares (moins de 3 fois par semaine) et difficiles à évacuer. Les signes sont clairs : des selles dures et sèches, des poussées intenses pour réussir à aller à la selle, une impression que l’évacuation reste incomplète, ou encore un rythme intestinal irrégulier. Ce ralentissement s’explique souvent par la baisse d’œstrogènes, qui ralentit les contractions du côlon.

  • Selles dures et sèches, dues au séjournent prolongé dans le côlon
  • Évacuation incomplète après passage aux toilettes
  • Fréquence réduite (moins de 3 selles par semaine)
  • Difficultés à pousser pour déféquer

Ballonnements, douleurs et ventre gonflé : les inconforts associés

Quand le transit ralentit, les selles stagnent dans le côlon, déclenchant des fermentations intestinales. Cela provoque des ballonnements, des gaz persistants et des crampes douloureuses au bas-ventre. Le ventre semble distendu, dur au toucher, affectant le bien-être quotidien. La fermentation libère des gaz comme l’hydrogène, accentuant la plénitude.

Ces désagréments méritent d’être pris au sérieux. Ces douleurs au bas-ventre peuvent avoir plusieurs causes, dont la constipation. Imaginez cette boule dans le ventre, ce gonflement qui serre les vêtements… C’est un signal à écouter, car ces troubles peuvent aussi affecter votre énergie et confiance en vous.

SOS constipation : nos astuces pour un soulagement rapide

La constipation liée à la baisse d’œstrogènes et de progestérone pendant la ménopause ralentit le transit et assèche les selles. Ces hormones régulent les contractions intestinales, et leur diminution aggrave les troubles digestifs. Voici des solutions rapides pour retrouver un confort immédiat.

Les remèdes de grand-mère qui ont fait leurs preuves

  • Eau tiède citronnée à jeun : stimule la bile pour activer l’évacuation dès le réveil.
  • Jus de pruneaux ou 2-3 pruneaux réhydratés : le sorbitol ramollit les selles en 1-3 heures.
  • Graines de lin moulues ou psyllium dans l’eau : les fibres forment un gel lubrifiant. 1 cuillère à café de psyllium suffit, à boire immédiatement.
  • Infusion de menthe poivrée ou camomille : apaise les spasmes grâce à ses vertus antispasmodiques.

À utiliser en cas de crise aiguë. Évitez l’excès de psyllium (risque de ballonnements) et privilégiez une hydratation suffisante. Pas d’usage quotidien pour préserver l’équilibre intestinal.

Le massage abdominal qui peut tout changer

Allongée, dessinez des cercles dans le sens des aiguilles d’une montre : partez du bas droit (côlon ascendant), montez vers les côtes, traversez à gauche (côlon transverse), puis redescendez (côlon descendant). Ce geste de 5 minutes stimule le transit en suivant l’anatomie du côlon.

Pratiquez matin ou soir en cas de blocage. Si les troubles persistent plus de 3 jours, consultez : une constipation chronique peut causer des complications. Votre bien-être mérite d’être prioritaire !

Adopter les bons réflexes au quotidien : nos solutions de fond

Près d’une femme sur cinq en France souffre de constipation durant la ménopause. Cette situation, liée à la chute des œstrogènes et progestérone, ralentit les contractions du côlon et augmente le cortisol, perturbant la digestion. Heureusement, des habitudes simples aident à retrouver un transit apaisé. Retrouver un transit régulier à la ménopause est un marathon, pas un sprint. C’est en changeant durablement quelques habitudes clés que l’on obtient les meilleurs résultats.

L’alimentation, votre première alliée

Pour un transit apaisé, misez sur une assiette bien pensée. Voici une sélection d’aliments et de leurs bienfaits digestifs :

Catégorie Aliments à privilégier Leurs super-pouvoirs pour votre transit
Les fibres solubles et insolubles Légumes verts (épinards, brocolis), fruits (kiwis, pommes, poires avec la peau), céréales complètes (avoine, quinoa), légumineuses (lentilles, pois chiches) Elles augmentent le volume des selles et stimulent les contractions de l’intestin.
Les « bons » fruits Pruneaux, figues, abricots secs, rhubarbe, melon Leurs sucres naturels (sorbitol) et fibres accélèrent le transit.
Les probiotiques Yaourts nature, kéfir, choucroute crue Ils nourrissent votre microbiote intestinal pour un équilibre digestif durable.
L’hydratation Eau (1,5 à 2L/jour), tisanes, bouillons Essentielle pour que les fibres puissent gonfler et ramollir les selles. Sans eau, les fibres peuvent aggraver la constipation !

Les pruneaux, par exemple, facilitent le transit via leur sorbitol, un sucre qui attire l’eau dans le côlon. Évitez les aliments gras ou ultra-transformés. Approfondissez avec le rôle des fibres alimentaires ou une alimentation adaptée à la ménopause.

Bouger pour mieux digérer

Une marche rapide de 30 minutes par jour stimule la circulation sanguine et les contractions intestinales. Le yoga (postures douces comme l’Apanasana) ou le Pilates, pour renforcer le ventre, sont idéaux. Une activité physique régulière améliore aussi la diversité du microbiote intestinal. Pas besoin d’être experte : quelques pas suffisent pour relancer un côlon paresseux !

La zen attitude, même aux toilettes

Le stress, en augmentant le cortisol, aggrave la constipation. Méditation, respiration ou cohérence cardiaque sont des alliées. Aux toilettes, adoptez la position physiologique : pieds sur un marchepied, genoux au-dessus des hanches. Cette posture aligne le côlon et réduit la pression sur le plancher pelvien pour un transit facilité.

Quand faut-il consulter un professionnel de santé ?

La plupart du temps, les changements de mode de vie suffisent pour apaiser la constipation liée à la ménopause. Mais parfois, il faut savoir franchir le cap et consulter. Votre bien-être mérite cette attention, surtout quand certains signaux ne mentent pas.

Les signaux d’alerte à ne pas ignorer

  • Si la constipation s’installe brutalement et persiste malgré vos efforts sur plusieurs semaines
  • En cas de douleurs abdominales intenses ou qui ne passent pas
  • Si vous remarquez de la présence de sang dans les selles
  • En cas de perte de poids inexpliquée sans régime
  • Si votre transit alterne sans raison entre constipation et diarrhée

Ne laissez pas ces signaux s’accumuler. Mieux vaut vérifier qu’un autre problème de santé ne se cache pas derrière ces désagréments. Votre corps vous parle, écoutez-le.

Vers qui se tourner pour un accompagnement adapté ?

Qui contacter quand les solutions maison ne suffisent plus ?

  • Le médecin généraliste pour un premier avis et orienter les examens nécessaires
  • Le gastro-entérologue si des tests spécifiques (bilan sanguin, analyse des selles) sont requis
  • Le diététicien-nutritionniste pour adapter votre alimentation de manière durable
  • Le kinésithérapeute ou la sage-femme pour une rééducation du périnée si nécessaire

Chaque professionnel apporte une pièce du puzzle. Parler de vos troubles, c’est déjà un premier pas vers un soulagement. Personne ne doit souffrir en silence, surtout pas vous.

Reprendre le contrôle de son confort digestif : c’est possible !

La constipation liée à la baisse d’œstrogènes et de progestérone pendant la ménopause n’est pas une fatalité. Trois leviers essentiels : alimentation, mouvement et gestion du stress.

Une alimentation fibreuse (légumes, fruits, céréales complètes) et une hydratation suffisante (1,5 à 2 litres d’eau par jour) sont incontournables. Une activité physique régulière (marche quotidienne, yoga, Pilates) stimule le côlon et renforce le périnée. Réduisez le cortisol grâce à la respiration profonde ou la méditation : le stress ralentit la digestion.

Ces petits ajustements apaisent le ventre et redonnent confiance. Solutions simples et accessibles pour un transit serein. Parole de femmes solidaires !

Retrouver un transit serein pendant la ménopause, c’est possible ! Alimentation équilibrée, activité physique et gestion du stress comptent pour réveiller votre transit. La constipation n’est pas une fatalité : de petits changements suffisent pour se sentir bien. Cette étape mérite bien-être : agissez pas à pas pour un ventre léger et confiance retrouvée !

FAQ

Est-ce que la ménopause peut causer de la constipation ?

Oui, c’est un phénomène assez courant pendant cette période. La baisse des hormones féminines, notamment de la progestérone et des œstrogènes, impacte directement le fonctionnement de l’intestin. La progestérone ralentit les contractions intestinales, ce qui ralentit le transit. De leur côté, les œstrogènes influencent le taux de cortisol (l’hormone du stress), connu pour perturber le système digestif. Résultat : on peut ressentir un ventre ballonné, des selles plus sèches, ou une difficulté à aller à la selle. Mais ce n’est pas une fatalité, des solutions existent pour retrouver un transit plus régulier.

Comment soulager une constipation liée aux changements hormonaux ?

Pour agir sur une constipation d’origine hormonale, on mise sur des solutions naturelles et durables. Commençons par l’alimentation : augmenter les fibres avec des légumes verts, des fruits comme les pruneaux ou le kiwi, et des céréales complètes. Hydratation clé aussi : 1,5 à 2 litres d’eau par jour pour que les fibres puissent gonfler correctement. Une activité physique douce, comme la marche ou le yoga, stimule le transit. Enfin, on pense à gérer le stress, qui aggrave souvent le problème. Et pour un soulagement rapide, un verre d’eau tiède au citron à jeun ou une tisane à la menthe poivrée peut faire des miracles !

Quelles solutions rapides pour débloquer un transit bloqué ?

Quand le ventre est vraiment bloqué, on a besoin de solutions rapides. Un grand classique : un verre d’eau tiède avec du jus de citron dès le réveil pour réveiller les intestins. Les pruneaux ou le jus de pruneaux, riches en sorbitol, sont aussi efficaces. Pour les adeptes des compléments, le psyllium blond ou les graines de lin, à laisser tremper dans l’eau avant ingestion, forment un gel qui lubrifie les intestins. Une infusion de menthe poivrée ou de camomille calme les spasmes. Et pour finir, un petit massage du ventre dans le sens des aiguilles d’une montre stimule le péristaltisme. À tester en urgence !

Pourquoi le ventre gonfle-t-il pendant la ménopause ?

Le ventre qui s’arrondit pendant la ménopause, c’est un classique pour beaucoup d’entre nous. Plusieurs facteurs entrent en jeu : les hormones bien sûr, mais aussi des changements métaboliques. La baisse d’œstrogènes favorise la rétention d’eau, ce qui peut donner cette sensation de ballonnements permanente. En parallèle, le cortisol (notre fameuse hormone du stress) augmente, ce qui ralentit le transit et favorise les gaz. Sans oublier que la masse musculaire diminue avec l’âge, ce qui ralentit le métabolisme et peut entraîner une prise de poids, notamment au niveau abdominal. Sans compter que cette fameuse graisse abdominale est pire ennemie de notre confort digestif.

La constipation est-elle normale pendant la ménopause ?

Tout à fait, c’est même très fréquent : on estime qu’une femme sur cinq en souffre pendant la ménopause. Ce n’est pas « dans notre tête » mais bien un effet des bouleversements hormonaux. À cause de la baisse de progestérone, les intestins ralentissent, les selles stagnent et sèchent. Le stress, souvent plus présent à cette période, n’aide pas non plus. Sans oublier que la tonicité du périnée diminue, ce qui rend l’expulsion des selles plus compliquée. Alors oui, c’est normal, mais ce n’est pas obligatoire. En quelques semaines de bons réflexes, on peut retrouver un transit plus régulier et un ventre moins douloureux.

Quel laxatif naturel privilégier en cas de constipation ?

Pour un effet doux et durable, on mise sur les fibres de lest comme le psyllium blond ou les graines de lin. Elles forment un gel qui lubrifie les intestins sans irriter. Les pruneaux, classiques mais efficaces, regorgent de fibres et de sorbitol, un sucre naturel qui stimule le transit. Le kéfir ou les yaourts à base de probiotiques aident à rééquilibrer la flore intestinale. Pour un effet immédiat, un grand verre d’eau tiède au citron à jeun, accompagné d’une tisane à la camomille ou à la menthe, peut déclencher l’envie d’aller à la selle. Et pour faire évoluer les habitudes sur le long terme, un suivi avec un diététicien peut aider à adapter l’alimentation à ses besoins spécifiques.

Quelle carence hormonale favorise la constipation ?

C’est surtout la diminution de deux hormones qui joue ici : la progestérone et les œstrogènes. La progestérone, qui a un effet relaxant sur les muscles lisses (dont ceux de l’intestin), diminue, ce qui ralentit le péristaltisme intestinal. En parallèle, la chute des œstrogènes entraîne une augmentation du cortisol, l’hormone du stress, qui perturbe à son tour le transit. Sans oublier que cette baisse hormonale affecte aussi le tonus du périnée, rendant l’évacuation des selles plus difficile. Résultat : des selles plus sèches, une fréquence réduite, et souvent une sensation d’évacuation incomplète.

Quels probiotiques sont recommandés pendant la ménopause ?

Pour soutenir le microbiote intestinal, certaines souches se distinguent : le Bifidobacterium bifidum, utile pour réduire ballonnements et constipation. Le Lactobacillus rhamnosus, efficace pour renforcer la flore intestinale et favoriser un transit fluide. Le Bifidobacterium infantis, particulièrement indiqué en cas de syndrome du côlon irritable. On retrouve ces souches dans des compléments alimentaires ou dans des aliments fermentés comme le kéfir, les yaourts nature ou la choucroute crue. À noter : un apport régulier est plus efficace qu’une prise ponctuelle. Et pour les femmes ménopausées, c’est un allié double : il soutient non seulement le transit, mais aussi l’immunité et parfois même l’humeur.

Comment déclencher une selle en cas de constipation ?

Pour activer le transit en urgence, quelques réflexes simples. Le matin, un verre d’eau tiède avec du citron stimule les intestins. Ensuite, un petit-déjeuner riche en fibres (avoine, fruits secs, graines) donne un coup de pouce. Si ça ne suffit pas, un jus de pruneaux ou 2 à 3 pruneaux réhydratés font souvent effet. En parallèle, un massage du ventre dans le sens des aiguilles d’une montre peut relancer le péristaltisme. Et si vraiment rien ne vient, on peut essayer un lavement doux ou un laxatif de lest, mais de façon exceptionnelle. Enfin, adopter la bonne posture sur les toilettes (jambes surélevées, buste légèrement penché) facilite l’évacuation.

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